DELLY ∞ if we met up at midnight in the hanging tree

➸ Date d'inscription : 14/02/2012

✘ fleur-qui-ondule-au-gré-des-vagues

nom et prénoms⊰ La jeune âme, ayant passé son seul et unique cycle parmi les herbes qui voient, elle à décidé de garder le patronyme de sa planète d'origine : Fleur-qui-Ondule-au-gré-des-Vagues. La traduction terrienne étant assez fastidieuse, elle se fait la majeure partie du temps appeler Ondine. En ce qui concerne son hôte, celle-ci s'appelle Vasili Fulvia Petrovic, noms ukrainiens, d'où est originaire de le paternel de celle-ci surnom(s) ⊰ Ceux qui connaissent son nom complet s'amuse à l'appeler Fleur, bien qu'elle trouve celui-ci trop commun. En effet, 90% des âmes ayant vécu sur la planète des fleur possède ce surnom. Elle préfère Ondine, beaucoup moins utilisé. On la surnomme aussi parfois Delly, chose qu'elle apprécie surtout entendre de la bouche de Marvel sexe ⊰ Femme âge & nombre de cycles ⊰ L'hôte va sur ses vingt-trois ans. Ondine en est quand à elle à son second cycle date et lieu de naissance de l'hôte ⊰ 19 avril 1989, Milan, Italie. C'est là-bas que vivait la famille de Vasili, dont la mère était Italienne de souche planète d'origine ⊰ Planète des Fleurs. Ondine effectua un cycle là-bas avant d'arriver sur Terre groupe ⊰ XXX métier ⊰ Vasili était encore étudiante lors de l'invasion. Elly à elle choisit de devenir Tutrice. Écouter les problèmes des autres l'a toujours distrait de ses propres ennuis statut ⊰ Célibataire, mais amoureuse du fiancé de son hôte avatar ⊰ Elizabeth Olsen crédits ⊰ (c) tumblr

attentionnée - aimable - douce - discrète - affectueux - attachante - responsable - réservée - calme - courageuse - maligne - gentille - tendre - idéaliste - pessimiste - méfiante - maladroite - nerveuse - orgueilleuse - sensible - colérique - égoïste - dépendante - hésitante - lunatique - enfantine - instable - jalouse - violente lorsqu'on la pousse à bout - pertubée

que pense-tu généralement des humains ? ⊰ Comme toute autre âme, je les trouvent violents, brutaux, et affreux. Je me demande parfois comment ils ont réussi à survivre aussi longtemps sans s'entretuer. Comme j'habite avec eux depuis presque six mois, j'ai appris à ne plus les craindre, mais mon opinion reste la même. Malgré tout, je doit avouer que leurs livres et magazines étaient beaucoup plus intéressante que les notre ; pour le peu que j'en ai lu, cela n'a rien a voir avec nos romans à l'eau de rose. que pensez-vous de ces âmes qui entendent encore la conscience de leur hôte dans leur tête ? en faites-vous partie ? ⊰ J'en fais malheureusement partie. Vasili est toujours présente dans ma tête, à y aller de son petit commentaire. Je commence à m'y habituer, mais je dois avouer que les débuts étaient éprouvants. Bien qu'elle n'ai jamais réussit à prendre le contrôle du corps, la cohabitation dans l’esprit est généralement difficile. Quand elle ne dors pas dans un coin de ma tête, elle est tout bonnement insupportable. Je ne comprend pas comment Marvel pouvait la supporter, lui qui est si doux, si gentil ... Cela l'énerve d'ailleurs au plus haut point que je cache à la communauté qu'elle est toujours en vie. de quoi vous souvenez-vous en ce qui concerne vos anciens cycles ? ⊰ Je ne me souviens pas en détail de ma vie d'avant. J(ai des souvenirs vagues, comme ceux que l'on a d'un rêve humain. Des impressions, des images. Je garde en souvenirs des lumières chaudes, tamisé par les litres d'eau au dessus de notre tête. Le calme aussi, tout était paisible là-bas, même si nous n'avions pas une minutes de silence. J'ai vraiment adoré ma vie parmi les herbes qui voient, mais j'avais envie de découvrir un nouvel environnement. Je n'ai pas pas été déçut avec la Terre.que pensez-vous de la terre ? ⊰ C'est une planète merveilleuse. Les émotions sont si intenses, les couleurs si flamboyantes. Tout ici prend une autre dimension. Même si la planète des Fleurs était magnifique, cela n'a rien a voir avec la diversité des paysage ici. La mer, la montagne, les déserts. C'est franchement sublime. que pensez-vous de la violence ? autant de la part des traqueurs autant de la part des humains. ⊰ J'en ai peur, mais malgré tout je la comprend. Même si je n'ai jamais osé en parler à personne, il m'arrive d'être violente. Quand elle me pousse à bout. Quand j'ai l'impression d'exploser. Quand j'étais encore à Milan, il m'arrivait de tout casser dans mon appartement, de véritablement perdre les pédales. Mais tout ça c'est sa faute. C'est Vasili. Si elle était morte comme elle le devrais, je n'aurais pas à aire tout ça. Casser, mentir, je crain de la prochaine chose qu'elle m’enseignera.

léa / crying lightning.

Moi c'est crying lightnig. bien que je préfère qu'on m'appelle par mon prénom, Léa. J'ai seize ans, je vis près de Paris et je suis actuellement en première ES. Je suis fan de Nikita depuis le début, étant fan de ce genre ce série, et plus particulièrement de Birkhoff. Autrement, je suis totalement accro à la trilogie des Hunger Games, et de son acteur principal Josh Hutcherson. Si vous tenez à la vie, ne clamez pas qu'il est votre, parce qu'il m'appartient ! What a Face

*ouut* Je suis aussi fan de HIMYM, Misfits, Skins, Glee, Community et Pushing Daisies. Je passe la plupart de mon temps sur Tumblr, alors n'hésitez pas à me donner le votre, j'ai besoin de personne dans ce fuseaux horaire! Si vous avez la moindre question, n'hésitez pas à remplir ma boite MP, j'adore ça bril

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i. le réveil

Chez les Soigneurs, il y a deux écoles. Ceux qui pensent que ça commence par la fin, d'autre affirme que c'est par le souvenir le plus marquant. Ce sont ces derniers à qui il fallait donner raison. Car devant les yeux de cette toute jeune âme, ce n'était pas le dernier jour de son hôte qui défilait. Un genou à terre devant elle, un jeune homme semblait chercher quelque chose dans sa poche ; c'était une demande en mariage.

« Vasili Fulvia Petrovic ... » La jeune femme n'en croyait pas ses yeux. Sans voix, incapable de bouger, le souffle court, Vasili semblait comme pétrifié. Elle aurait dû s'en douter, après plus d'un an et demi d'une relation quasi-parfaite. Elle aurait dû s'attendre à ce que l'homme de sa vie décide de la garder à jamais. Et pourtant, elle regardait son amant fouiller dans sa poche de manteau sans savoir quoi dire. A sa grande surprise, l'homme sortit ses clés d'appartement. « accepte-tu de devenir ma femme ? » Devant le regard perplexe de sa bien-aimée, il lui asséna un sourire ravageur avant d'ajouter. « Ne m'en veut pas, ce n'était pas prévu. Je te trouverais une bague, promis ! C'est juste cette réflexion que tu viens de faire, à propos des saumons. » « Des saumons ? » répéta ironiquement la jeune femme. « Oui, je ... Je t'aime. Et je veux passer le reste de ma vie avec toi. Alors veux-tu m'épouser ? » Les larmes aux yeux, Vasili le regardait tendre l’anneau du porte clé. Ravalant un sanglot, et lâcha un petit rire, mi- nerveux mi amusé. « Oui, bien sûr ! » Le jeune brun se releva et elle se jeta dans ses bras, l'embrassant tendrement. Après de longues secondes passionnées, elle se détacha de lui, éloignant son visage de quelque centimètre seulement. « Madame Marvel Paylor. Ça ne sonne pas trop mal, non ? » « Pas trop mal, il faut l'avouer ! » Le jeune couple explosa de rire. Collé l'un à l'autre rien ne semblait pouvoir briser ce moment, qu'il espérait chacun durer éternellement.

L'âme repris conscience, le souffle court. On ne lui avait pas menti ; les souvenirs humains étaient d'une puissance inouïe. Encore secouée par ces premiers instants sur sa nouvelle planète, elle n'arrivait pas à faire partir l'image du jeune homme de son esprit. Son visage restait comme suspendue dans son esprit, son nom résonnait dans sa tête. Toujours dans un état second, elle murmura malgré tout son premier mot. « Marvel ... »

✗ ✗ ✗

Roulée en boule au creux d'un fauteuil, face à la fenêtre, je fixais l'horizon avec une certaine nostalgie. La planète des Fleurs me lui manquait terriblement. Je regrettais le lien mental qui m’unissait à toutes mes voisines, cette conversation incessante, cette mélodie qui me berçait. Et malgré toute l'admiration que j'éprouvais pour cette nouvelle planète, je ne pouvais m'empêcher de penser aux Herbes qui voient avec une certaine envie. J'étais si seule dans ce monde. Et pourtant, les voix dans ma tête n'avaient pas totalement disparu. Dans ma tête, pas la tienne ... Vasili. Mon hôte. Je pouvais toujours percevoir ses pensées, souvent moqueuses, la majorité du temps désagréable. Comme chaque fois qu'elle se réveillait, j'attrapais ma tête entre ses mains, fermais les yeux et commençais mon rituel. « Je m’appelle Fleur-qui-Ondule-au-gré-des-Vagues. Je passe mon second cycle sur la planète Terre. Je suis la seule et l'unique personne dans ce corps.» Trois phrases, simple, toujours les même. Vingt-neuf mots censés me rassurer, m'aider à reprendre le contrôle. Mais de qui je me moquais ?! C'était complétement inutile ; les pensées de Vasili n'avaient pas faibli depuis son retour, quelque temps après l'insertion. Je poussai un long soupir qui résonna dans mon petit appartement. Si tu ne voulais pas de problèmes, fallait rester sur ta planète de monstres ! Ce ne sont pas des monstres, ce sont des herbes qui voient. Encore heureux qu'elles voient, avec leur yeux de partout ! Elles sont magnifiques ! Et tu croyais quoi ? Être la seule espèce dans l'univers ? Avoir le monopole de l'humanité ? Oula, t'es de mauvaise hume... Rendors toi Vasil'. Sérieusement. Sur ces paroles, la jeune femme partie se réfugier dans un coin de notre esprit. On avait chacune appris que cela ne servait à rien de se disputer, à part à se ramasser un bon mal de crâne. Un seul sujet restait encore sensible : celui des souvenirs de Vasili, et plus particulièrement de Marvel, son fiancé. Pourtant, je ne pouvais m'empêcher de penser à ce dernier. Chaque nuit je rêvais de mes retrouvailles avec celui-ci, du plaisir que ressentais si en le croisant un jour dans la rue. De finir ma vie avec lui. Il n'en fallait pas plus pour réveiller mon hôte. Jamais ... commença-t-elle, la voix tremblante. Il n'a pas été attrapé je le sais. Il était plus malin que moi. Il a fui. Il a été retrouver Bonnie. Je n'eus pas la force de la contredire, même si au fond, je savais qu'il n'y avait qu'une infime chance qu'il s'en soit sorti indemne.

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ii. l'enlèvement

J'évoluais à travers les rues de Milan comme chaque soir pour rentrer du travail. Mon cabinet de Tutrice se trouvait seulement à un petit quart d'heure de marche de son domicile, quinze minutes quotidiennes que j'appréciais fortement. Quand la nuit tombait, c'était un autre univers qui s'installait sur la ville. Plus d'agitation, des rues désertes, la plupart des magasins fermés. C'était calme, paisible. J'adulais cette ambiance nocturne, si bien que je quittais le travail tard après ma dernière consultation juste pour pouvoir gouter à cette atmosphère sereine. Et ce même si Vasili n'approuvait pas cette décision. Cette dernière prenait un malin plaisir à me contredire de toute manière, pour tout et n'importe quoi ; je lui rendais bien la pareille, certes, mais cela n'était pas moins désagréable pour autant. Malgré tout, j'avais réussi à cohabiter avec elle. Personne n'était au courant de son existence ; j'en avais bien trop honte, après tout c'était une marque de faiblesse et j'avais ma fierté. Nous avions passé des accords, une sorte de traité de paix entre elle la pauvre victime et moi l'envahisseur. Remet pas ça sur le tapis, tu sais très bien que j'ai raison. J'émis un rire léger, moqueur. Je n'avais pas non plus envie de remettre ça sur le tapis, chacune était bien trop campées sur ses positions pour que le débat avance. Compte là-dessus !, pensais-je avec sarcasme. C'est une chose qu'elle m'avait appris ça, le sarcasme. C'est une chose qui n'existe pas chez les âmes, nous n'avons aucune raison de nous moquer des uns des autres. C'est ce qui nous démarquait des humains. Revoilà encore miss bonté naturelle ! Et sur ta planète, tout est sucre et en guimauve ? Alors que je m'apprêtais à riposter, une silhouette m'interpella dans une ruelle à quelque mètre de moi. Je n'avais aucune raison de m'inquiéter, et pourtant, la façon dont la jeune femme se mouvait, il y avait quelque chose qui clochait. Je m'approchai de celle-ci ; peut-être avait-elle besoin d'aide. « Tout vas bien mademoiselle ? » Je la distinguais à peine, mais ne pouvait pas la manquer grâce à ses long cheveux roux flamboyant sous la lumière pâle de la Lune. « Oui, ne vous inquiétez pas, j'ai juste fais tomber mon trousseau de clés, et je n’arrive pas à mettre la main dessus. » Quelque chose dans la voix de la jeune femme sonnait faux. Incroyablement faux. Mais pourtant que pouvait-il m'arriver ? C'était simplement une âme un peu maladroite, je n'avais pas m'alarmer. « Je vais vous aider ! » déclarais-je en m'avançant. C'est seulement engouffré dans la ruelle que j’aperçus les deux autres silhouettes cachées dans l'obscurité. Une femme, plutôt petite, aux cheveux blonds que je ne reconnus pas tout de suite. Je ne mis au contraire qu'un millième de seconde à placer un nom sur le visage du jeune homme à ses côtés. « Marvel ... » murmurais-je. Ma voix se brisa sur la fin de son prénom. Marvel. Celui qui occupait mes rêves depuis maintenant deux ans, cet homme que je n'arrivais pas à faire sortir de mon esprit et que je cherchais sans relâche à travers le monde, avec l'infime espoir qu'il ait été épargné. Celui-là même.
Marvel ! hurla Vasili en écho à mon premier murmure. Chaque cellule de mon corps, ainsi tout l'esprit de mon hôte me dictait de courir me réfugier au creux de ses bras. Et pourtant, je restais debout au milieu de l'allée, comme figée. Il était là. Devant moi. Je sentais des larmes de joies me monter aux yeux, mais je les reteins tant bien que mal. Le jeune homme fit un pas en avant, et j’entrevis enfin son visage, méconnaissable comparé aux souvenirs de mon hôte. Ses traits s'étaient durcis, ses yeux présentaient d’impressionnantes cernes et, au-dessus de tout, son sourire avait disparu. Celui qui ne le quittait jamais semblait avoir foutu le camp en même temps que sa vie d'avant, paisible et si facile. Car cela ne faisait aucun doute : aucune âme n'habitait ce corps froid et désespéré ; il était encore lui-même. Une seconde vague de bonheur parcourut mon corps. Mon Marvel. Sain et sauf. Mon Marvel ! Il est à moi sale parasite ! Je fus surprise par la haine qu'elle avait placé dans cette phrase. Même si notre fiancé avait toujours été un sujet sensible, elle ne s'était pas montrée si féroce depuis si longtemps. Au fond de moi, je l'entendais sangloter, pleurant des larmes que je ne laisserais pas sortir. Ce fut au tour de la femme de s'avancer, et je reconnu Thania, la sœur de Vasili. Même si ce n'était rien comparé à ce que je ressentais pour Marvel, Thania m'avais aussi terriblement manquée. Thany ... murmura Vasili. Toujours incapable de bouger, ou même de parler, je restais pétrifié devant ma famille. Sa famille.
Après de longues secondes de silence, Thania soupira et sortit de sa poche un chiffon blanc. Du chloroforme ! On nous en avait parlé au cours de prévention, et je savais que j’avais plutôt intérêt à courir, et vite. Malgré toute ma volonté, mon corps restait figé, incapable ne cesserais-ce de faire un pas. Le regard affolé, je cherchais celui de Marvel. On sentait que ce dernier ne savait pas quoi faire. Le regard plein de pitié, il me fixait, hésitant. La jeune blonde se rapprochant de plus en plus, je fis enfin un pas en arrière, mais fut aussitôt attrapé par la rousse qui se tenais toujours derrière. N’essayant même pas de me débattre, je jetais un dernier regard désespéré au fiancé de Vasili. « Marvel ! Marvel s'il te plaît ! Marvel ! » Le jeune homme craqua, et au moment où le tissu toucha mon visage, il écarta la main de sa belle-sœur. « Tu .. Tu me reconnais ? » Perdu, il me dévisagea tandis que je hochais la tête frénétiquement. Après avoir lancé un regard à la rousse, il souffla, apparemment en plein dilemme. Il passa sa main dans ses cheveux nerveusement, et plongea mon regard dans le mien. Pour la première fois depuis le début, sa peau effleura la mienne. D'un geste qu'il connaissait par cœur, il replaça une mèche derrière mon oreille avec tendresse. Dans un fond de mon cerveaux, les sanglots de Vasili repartir de plus belle. Je me rappelle qu'il avait l'habitude de lui faire ça. « Comment tu t’appelles ? » me demanda-t-il, d'un ton qu'il voulait froid et distant, mais peu convaincant. « Ondine. » répondis-je d'une petite voix tremblante. Les yeux toujours plongés dans les siens, je ne pus cependant pas rater la grimace de Thania qui se tenait à côté. « Viens avec nous, sois sage et ne fais pas de bêtise, d'accord Ondine ? » J’acquiesçai avec entrain, avec d'attraper la main qu'il me tendait. Il venait de prononcer mon nom pour la première fois, et berçait par le plaisir que cela me procurait, moi qui en rêvait depuis si longtemps, je le suivis innocemment.
Je ne pus m'empêcher de la serrer au maximum, me collant le plus possible à lui. Même si sa carrure n'avait rien d’impressionnante, la rousse m’effrayait, et ce n'était pas le regard mauvais que me lançait Thania qui allait me réconforter. Notre petit groupe commença donc à évoluer dans les rues, d'un pas lent pour ne pas attirer l'attention. Je m'accrochais à mon sauveur de toutes mes forces, lui lançant toute les cent mètre un regard terrorisé pour m'assurer qu'il ne s'était pas changer en un de ces humains avide de sang. Il me surprit au bout de la troisième fois, et me lança un sourire réconfortant avant m'embrassa sur le front. L'espace d'un instant, je crus retrouver le Marvel des souvenirs de mon hôte, mais ce voile vide et froid recouvra son visage à la seconde qui suivit. Penaude, je me concentrais sur mon chemin, n’ayant aucune idée d’où ils m’emmenaient. J’eus malgré tout la terrible impression que cela était la dernière fois que je visitais Milan, et, après un dernier regard vers ma ville d’accueil, je grimpais dans la sagement camionnette.

➸ Date d'inscription : 14/02/2012

iii. les grottes

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